L'Intelligence Presqu'Artificielle du Québec (IPAQ) est fière de vous présenter le premier robot informationel entrainé sur l'actualité sociale et politique de St-Jean, de Montréal, du Québec, du Canada, des États-Unis, du monde et de toute la galaxie, maintenant que l'homme riche a décidé d'aller polluer au-delà de l'atmosphère de la planète bleue.
Le robot a aussi parcouru les informations culturelles et sportives québécoises et nord-américaines des dernières années.
L'Intelligence Presqu'Artificielle du Québec travaille aussi sur des outils de création artistique mais plutôt que d'enlever des emplois dans le domaine ne feront que revaloriser notre patrimoine culturel. À suire, comme disait Rock et Belles Oreilles.
Ce n'est pas tout le monde qui aura la référence mais à l'époque de la révélation des accusations contre Guy Cloutier, sa fille Véronique a pris la relève de l'entreprise de son père et a eu la décence de changer le nom de la compagnie.
Depuis les révélations et les accusations contre le fondateur de Juste pour rire, Gilbert Rozon, pour des comportements répétés envers plusieurs, le nom Juste pour rire a été maintenu.
C'est évidemment une marque connue et on peut facilement en reconnaître sa valeur mais on peut quand même se questionner sur la pertinence d'avoir maintenu ce nom. Est-ce une clause non-révélée au public qui a empêché le changement de nom ou l'on ne voulait pas avoir à rebâtir une image de marque ?
Les acquéreurs en 2018 de l'entreprise, Bell (26 %), Groupe CH (25 %) et Creative Artists Agency (49 %), accordaient sûrement de la valeur à l'entreprise par la notoriété internationale de la marque mais avouons un manque d'égard envers les victimes.
Encore une preuve de manque de considération de riches envers le public et les acteurs de la scène humoristique, qui les font évidemment vivre. La justice des riches...
Maintenant ComediHa a la possibilité de ne garder que le positif de cette entreprise, c'est-à-dire ses artisans. Mamaaaan, c'est finiiiiiiii...
Visiblement, plusieurs habitants de la terre ne comblent pas leurs besoins de base, mais les plus riches ont décidé qu'il fallait pouvoir générer des algorhtymes en fonction de nos activités numériques pour mieux nous vendre ce dont on nous vend l'idée qu'on en a besoin.
Oui, il y a évidemment de bons côtés mais ce n'est certainement pas un hasard que plusieurs acteurs du milieu de l'intelligenge artificielle lèvent le drapeau sur les limites à tracer.
Comme dans beaucoup de domaines quand les gens d'un milieu sonnent l'alarme il est parfois trop tard.
Vu l'état de l'informatique dans les gouvernements (système de paie Phénix au fédéral et les fax dans le milieu de la santé au Québec!), on ne se surprendra pas d'apprendre que les gouvernements sont largement en retard et que les compagnies miliardaires qui développent à leur guise les usages de l'intelligence artificielle font ce qu'ils veulent. Certaines de ces compagnies étant visiblement au-dessus des états qui devraient légiférer, s'il n'est pas trop tard.
20 ans d'inaction dans le domaine du numérique ne s'améliora pas avec le dossier de l'intelligence artificielle. On va sûrement entendre la cassette de Justin dans ce domaine aussi: "On va continuer de continuer à continuer d'essayer de continuer à encadrer... bla bla bla et re bla bla bla.
Pendant ce temps, combien paient ces compagnies milliardaires pour faire du lobbying auprès de Justin et ses amis libéraux ?
Admettez que c'est difficile qu'ils fassent pire que pour l'environnement en ayant acheté un oléoduc !