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Médias traditionnels

Les médias plus soucieux de l'affluence que des faits

Beaucoup plus d’efforts sont mis à nous dire ce que l’on devrait penser plutôt que nous donner tous les faits le plus précis possible pour que l’on se fasse nous-mêmes notre opinion sur les enjeux de notre société. Toujours ls gros titres vendeurs pour pouvoir vendre de la publicité.

Prenez Quebecor, qui préfèrent nous divertir (oui du divertissement ça en prend toujours, dire qu’on n’a déjà demandé pendant des années s’il y avait trop d’humoristes, comme si une société pouvait avoir trop de fun !!!) plutôt que nous informer convenablement. Ils misent sur les chroniqueurs et les donneurs d’opinion à qui on donne un plus gros porte-voix que les simples citoyens sur les médias asociaux, et plusieurs de ces chroniqueurs ou journalistes n’ont évidemment pas l’expertise et parfois le recul pour se prononcer et encore moins nous partager leur opinion soi-disant réfléchie, qui doit être percutante pour attirer les clics.

Pendant qu’on discute d’enjeux à Tout le monde en parle le dimanche soir, à TVA, on essaie de deviner qui chante dans la mascotte de homard!

Du côté de Bell, eux ils tournent et diffusent apparemment la télévision aussi de leur sous-sol. Y compris lors de descriptions de matchs, on se demande parfois : Ils sont dans l’arèna ou dans un sous-sol?

RDS qui utilise en ondes facebook live pour avoir l’opinion des auditeurs. Je comprends que l’on n’investit pas pour développer un outil qui fait la même chose, que donne déjà gracieusement les médias asociaux.

Belle solidarité chez Bell, ils coupent les emplois dus aux revenus qui diminuent à cause de facebook mais ils s’en servent pour le contenu.

D’ailleurs, pas mal de journalistes écrivent des articles qui reposent que sur des messages sur les médias sociaux. Les images de saisies d’écran de X et le texte copié et collé et voilà un article!

C’est d’ailleurs ironique et peut-être comprenable que facebook ne bloque pas le contenu des MÉDIAS sportifs, car assez souvent pour en consommer beaucoup moi-même et partager mon opinion avec d’autres consommateurs de contenu de médias sportifs, il y a souvent des erreurs factuels (facile à s’en rendre compte avec la disponibilité des statistiques et résultats). Ou lors de simples descriptions de matchs, par exemple, lundi le 11 novembre, match Canadiens vs Sabres, Alain Crête lors d’une escarmouche : « Et Caulfield qui jette les gants. » Alors qu’il n’est pas sur la glace et se trompe avec Slafkovsky, qui avait toujours ses gants! C’est vrai que physiquement ils se ressemblent beaucoup!

Pas aussi évident dans les autres sphères de la société de vérifier ce qui est rapporté en plus par des gens qui ont tous un beau diplôme en journalisme qui leur permet de rapporter les nouvelles avec un apparent professionnalisme mais qui ne connaissent pour certains pas le sujet traité avant justement de le traiter.

Ironique que ce soit justement ce que les journalistes et chroniqueurs disent d’un député quand il est nommé ministre sur un sujet quelconque. « Il ne connaît rien là-dedans. »

Veuillez garder la ligne, votre lecture est importante pour nous

Médias - Nouveau média numérique

journal de st jean.com utilise le nouveau robot informationnel de l'IPAQ

robot

L'Intelligence Presqu'Artificielle du Québec (IPAQ) est fière de vous présenter le premier robot informationel entrainé sur l'actualité sociale et politique de St-Jean, de Montréal, du Québec, du Canada, des États-Unis, du monde et de toute la galaxie, maintenant que l'homme riche a décidé d'aller polluer au-delà de l'atmosphère de la planète bleue.

Le robot a aussi parcouru les informations culturelles et sportives québécoises et nord-américaines des dernières années.

L'Intelligence Presqu'Artificielle du Québec travaille aussi sur des outils de création artistique mais plutôt que d'enlever des emplois dans le domaine ne feront que revaloriser notre patrimoine culturel. À suire, comme disait Rock et Belles Oreilles.